La cuisine indonésienne tire ses origines des influences de la cuisine chinoise, indienne, portugaise, hollandaise et anglaise. C’est une cuisine très goûteuse où se mélange le sucré et salé, mais aussi le sûre et le piquant. Elle se compose principalement de riz blanc avec un peu de viande, tofu, tempeh, oeuf et légumes. Le porc est presque absent des menus à cause du fort pourcentage musulman et les produits laitiers sont aussi très rares.
C’est une cuisine très accessible pour les végétariens et les végétaliens, mais un peu moins accessible pour les gens qui n’aiment pas le piquant. La sauce forte pimentée, sambal, est presque omniprésente dans chaque met. À la différence de nous, plusieurs indonésiens mangeraient seulement deux fois par jour, on peu le confirmer à les voir, ils sont pour la majorité assez mince. Ils consomment aussi de très petites portions si on compare avec l’Occidentale moyen.
Les différents type de cuisson y sont présents, bouillie, frit, grillé. Une cuisson typiquement indonésienne est de faire cuire à la vapeur dans une feuille de bananier qu’il nomme pepe. Cela permet entre autre, de faire une espèce de petit pain de riz collant que l’on coupe ensuite en morceau et que l’on ajoute au plat. Comme par exemple; au gadogado, plat constitué de salade de légumes cuits à base de sauce aux arachides. Ne pas oublier que chaque région à sa spécialité.
Crédit photo : Sylvain Lavoie.
Alimentation traditionnelle: Avant les années 1990, la restauration indonésienne était presque absente, sauf dans les restaurants d’hôtel, où il n’y avait que des restaurants chinois. Les indonésien mangeait chez eux en famille. Maintenant il y a plusieurs restaurants indonésiens. Plusieurs marchants ambulants ne vendent qu’un seul produit unique. Par exemple les satei ayan, qui sont de brochettes de poulet accompagnées de sauce au arachide, un vrai délice.
Nous en avons mangées accompagnées de riz cuit dans des feuilles de bananier.
Pour le déjeuner, les indonésiens, consomment habituellement le riz de la vielle avec les restants ou avec des œufs.
Pour le dîner il y a la possibilité d’aller dans un restaurent qui offre des buffets dans lesquelles ont commence par se servir du riz et ensuite on y dépose des condiments. Viandes, poisson tempeh (fèves de soya fermentées ressemblant à du tofu) et légumes bien relevés.
Crédit photo : Sylvain Lavoie.
Pour une alternative de repas rapide sur le pouce, il y a le Boxa. c’est comme un » truck food » », mais avec une moto. Cette moto qui est modifiée par son propriétaire pour permettre d’entreposer tout les aliments constituant une soupe, ou, soto en indonésien. Elle se compose premièrement d’un bouillon de bœuf avec des nouilles de riz et/ou de blé. Cette soupe se compose aussi de petites boulettes de bœuf, du tofu et il est possible d’y ajouter un oeuf. La touche finale, c’est la sauce piquante et le ketjap. Le ketjap serait l’ancêtre du ketchup, il se compose majoritairement de sauce soya et de sucre. Cette sauce est succulente et peut accompagner tout les plats indonésiens.
Crédit photo : Sylvain Lavoie.
L’Indonésie offre la chance de déguster plusieurs variétés de fruits tropicaux et de jus frais préparés à partir de ceux-ci des plus succulent et inusité. Ces jus sont faits à partir de mélangeur, donc, plutôt des smoothies. Le jus d’avocat, de melon d’eau, de sour soap qui est un fruit sûre et très goûteux. Il y a aussi celui de durian qui est un fruit gras ressemblant à l’avocat, mais qui est très différent parce que sucré avec une forte odeur et un goût de souffre. Plusieurs autres jus sont disponibles mais, à la différence de chez nous, les jus ne sont préparés qu’avec un seul fruit à la fois (pas de mélange possible).
Crédit photo : Sylvain Lavoie.
Cette article a été rédigé par Sylvain Lavoie, ostéopathe et guide de plein-air.
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